Souviens-toi de ta mère et de ton père, et de ton premier mensonge dont l’indiscrète odeur rampe dans ta mémoire.Souviens-toi de ta première insulte, à ceux qui te firent : la graine de l’orgueil était semée, la cassure luisait, rompant la nuit une.Souviens-toi des soirs de terreur où la pensée du néant te griffait au ventre, et revenait toujours te le ronger, comme un vautour ; et souviens-toi des matins de soleil dans la chambre.
lunes, 8 de diciembre de 2008
La vie en rose.
Dejaré un poema que me encanta.
Souviens-toi de ta mère et de ton père, et de ton premier mensonge dont l’indiscrète odeur rampe dans ta mémoire.Souviens-toi de ta première insulte, à ceux qui te firent : la graine de l’orgueil était semée, la cassure luisait, rompant la nuit une.Souviens-toi des soirs de terreur où la pensée du néant te griffait au ventre, et revenait toujours te le ronger, comme un vautour ; et souviens-toi des matins de soleil dans la chambre.
Souviens-toi de ta mère et de ton père, et de ton premier mensonge dont l’indiscrète odeur rampe dans ta mémoire.Souviens-toi de ta première insulte, à ceux qui te firent : la graine de l’orgueil était semée, la cassure luisait, rompant la nuit une.Souviens-toi des soirs de terreur où la pensée du néant te griffait au ventre, et revenait toujours te le ronger, comme un vautour ; et souviens-toi des matins de soleil dans la chambre.
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